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Sud du Maroc, vallée du Draa.

22 Février 2025 , Rédigé par Bernard Viguier Publié dans #photos

Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
Sur la route entre Ouarzazate et Zagora se trouvent de nombreuses kasbahs ( par exemple, celle de Cheikh Arabi dans le village d'Oulald Authman, dias du milieu ) parfois abandonnées, à la suite du tremblement de terre de septembre 2023. Construites en pisé selon des techniques de coffrage ancestrales ( briques, coffrages de différentes dimensions ) elles sont souvent fissurées et les villageoises préfèrent désormais faire reconstruire leur maison en ciment. Les kasbahs servaient de halte sécurisée aux caravanes arrivant d'Afrique et les personnes noires sont nombreuses dans la région.
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